Il y a quelques mois, le grand manguier qui ferme par un écran de verdure le fond du gymnase de Rokaz était en fleurs. Un peu plus tard, des fruits minuscules apparurent. Ils endurèrent la poussière du chantier, le manque de lumière, une ambiance électrique tellement différente de la douce quiétude qui règne dans les campagnes verdoyantes du Minas Gerais où les manguiers s’épanouissent en nombre.
Malgré tout, les petites mangues grandirent un peu tous les jours, imperceptiblement. Aujourd’hui, quelques dizaines de beaux fruits, encore un peu verts, sont là, sous mes yeux, comme des promesses. Dans quelques semaines, nous pourrons les cueillir et nous régaler enfin.
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